The Legend of Zelda : Twilight Princess

Un nouveau Zelda, c'est toujours un évènement qu'on attend comme le messie.
Et là, un nouvel opus, sur une nouvelle console pour ch'tites n'enfants où faut s'agiter comme un fou pour jouer ?
Oh boy oh boy oh boy !

Par contre avant d'essayer le jeu, il faudrait peut-être s'habituer à la console et au wiimote (hihi, c'est rigolo, ça fait presque remote).

Commençons par Wii Sports.
Ah, tiens, déjà la wii et le wiimote sont plus petits que ce que j'imaginais.
C'est pas grave... C'est pas la taille qui compte, hein...
Et le wiimote est bizarre, il est à la fois trop et pas assez sensible.

Quand on joue au golf, ça lagge un peu. Mon personnage ne bouge pas en même temps que moi, ça va pas être facile de doser la force de mon swing.
Tant pis, de toute façon le golf c'est un sport de tarlouzes.

Moi mon truc apparemment, c'est le base-ball.
En tant que batteur, je suis trop fort, je renvoie plein de balles.
Elles sont presque toutes fausses, mais au moins je les renvoie ! C'est aussi ça l'esprit sportif.

Je suis le lanceur, maintenant ?
Ok, bring it on, bitch. Je prends mon élan, et... je lance !
Quelle puissance, quel homme !

Vas-y, à quelle vitesse j'ai envoyé ?
Ah, 56 km/h ?
...
C'est de la merde ce jeu, ça reconnaît pas la vraie force, d'abord.

Allez, je suis prêt, on essaye Zelda maintenant !

Ooooh, la petite musique...
Je... je crois que je bande, là.
Le temps de réussir à viser aux bons endroits sur la télé, et je peux commencer à jouer.

Déjà ce qui est bien, c'est que même si on peut choisir le nom du joueur, il est réglé par défaut pour s'appeler Link.
Rien que ça, c'est un plus, vu que eh, ben c'est le nom du personnage. Du coup, ça permet de ne pas perdre bêtement son temps à écrire quelque chose qui tombe sous le sens.

Ouah, on peut aussi choisir le nom de sa jument ?
Mais où s'arrêtera le progrès, mes dieux ?

Après, pas de surprise, Link est encore un bouseux qui habite dans un village avec trois pelés deux tondus.

Par contre, le mauvais point, c'est les graphismes. Ce que j'aime bien dans les Zelda, c'est le coté simpliste et naïf, comme dans The Windwaker ou Link's Awakening.
Ca me donne l'impression que c'est un jeu à ma portée (ben oui, c'est comme ça, je suis un newbie, il me faut des trucs simples).

Là, ils essayent de faire du réaliste, on se croirait dans Majora's Mask ou Ocarina of Time. Et j'aime pas. Bleark.
Crétins de graphistes.
Mais du coup, Link est plus travaillé, et qu'est-ce qu'il est beau, malgré sa jupette !
Ca n'est plus ce gamin qui a douze ans depuis vingt ans (le syndrome Meg Ryan...), il a enfin attaqué la puberté, et ça lui réussit plutôt pas mal.
Roar, Linkounet.

L'autre truc bien, c'est qu'on peut lancer les rochers que Link ramasse en jetant le wiimote. Heureusement qu'il a une dragonne, du coup, parce que sinon je balançais ma télécommande dans la télé, et j'avais plus le droit de m'amuser.

J'imagine qu'après on se battra à l'épée en mimant les mouvements avec le wiimote (en garde ! Touché, le chat !), mais ça sera pour une autre fois, parce qu'il est tard, je suis crevé, alors j'arrête de jouer.
Wii wii*, avant même d'être arrivé au tutoriel.
Je suis comme ça, je suis fou.

Zelda, ou faudrait quand même y jouer un peu plus de cinq minutes pour pouvoir se faire une vraie opinion.

*Vous avez vu comme je suis drôle ? Au lieu d'écrire "Oui oui", j'ai écrit "Wii wii", qui est le nom de la console. Et j'ai pas fini de le faire, ce jeu de mots.